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  • : artiste installé tout près de Nantes je vous propose ici des series de peintures à caractère érotique . Ces toiles sont à vendre à mon atelier ou en prenant contact avec moi via le blog. jJe propose également de réaliser une interprétation peinte de vos ébats à partir d'une photo par exemple .Je publie aussi à travers ce blog des textes de Hot Marmotte, alors bonne lecture et à bientôt
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  • : 07/12/2008
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Dimanche 19 juillet 7 19 /07 /Juil 19:57

            Souvenirs d’un vendredi de printemps :

Aujourd’hui, pas question de traîner au travail, j’ai bossé comme une folle toute la semaine, alors, dés 17h, j’ai prends mes clics et mes clacs et je  saute dans le tramway pour rejoindre le centre ville de Nantes où j’ai rendez-vous avec mon chéri. « Vers 17h30 au Bouffay, ça te vas ? » m’avait-il demandé le midi au téléphone. C’était parfait pour moi et j’ai pensé : « Un petit apéro en amoureux me fera le plus grand bien ».

Je descends à « Commerce ». Au milieu du flot des gens, je prends quelques secondes pour me regarder dans mon petit miroir de poche, je me remets du rouge à lèvre, un peu de khôl pour souligner et faire briller mes yeux déjà pétillants, et profite de la vitrine d’un magasin pour remettre mes cheveux en place. Je veux me sentir belle et femme pour le séduire tout à l’heure.

Il me reste encore quelques minutes, alors je  rentre dans une parfumerie où sous le prétexte d’essayer des essences, je vaporise un peu d’exotisme et de chaleur sur mon cou. L’idée de couvrir de ce parfum la délicate dentelle de mon string qui couvre ma petit chatte d’amour me fait tout de suite mouiller. J’aimerai être prise là dans le magasin sans enlever mes dessous, vite fait bien fait, si vous voyez ce que je veux dire.

Je retrouve mes esprits en retournant dans la rue et me dirige vers la brasserie où nous avons l’habitude de nous retrouver.

Même s’il ne prend pas de sucre, je le trouve à mon arrivée, assis à une table, en train de tourner sa petite cuillère dans son café tout en lisant le journal. Il est absorbé par sa lecture et ne s’aperçoit pas tout de suite de mon arrivée ni que la moitié de son es presso vire de la tasse à la soucoupe. « Les nouvelles sont bonnes ? », lui dis-je en me penchant vers lui. Nous nous embrassons puis il me répond en repliant son journal : « Si tu tiens à le savoir ma petite beauté, le monde s’écroule, « les canaris » sont perdus pour le foot mais toi , tu arrives et c’est ma bonne nouvelle du soir. »

Je m’assieds à côté de lui, il se penche pour me donner un baiser dans le cou et s’attarde pour humer les effluves sur ma peau et mes cheveux et puis pose un œil coquin dans mon décolleté. « Que veux-tu boire ? » me demande-t-il en se redressant. « Je veux te boire toi, ton jus chaud et énergétique, mais comme il y a trop de gens ici, je vais me contenter d’un Martini citron avec des olives en tétant une cigarette ». J’ai envie de le provoquer.

Il se lève hilare – entre les pans de sa veste courte, je remarque une belle bosse sous sa ceinture – et va  commander au bar (il déteste attendre les serveurs). J’en  profite pour mater tranquillement son beau petit cul bombé que je distingue sous le cuir souple de son vêtement.

Lorsqu’il est revient s’asseoir, la bosse sous ses jeans a disparue. Ensemble nous nous  installons  pour un doux moment de calme et de détente, assis sur la banquette, à regarder le film du temps et des gens qui  passent dans la rue. « Peut être pourrions nous aller au cinéma ce soir ? » «  Warum nicht   ». « Je pourrais mettre ma main sous ta jupe dans l’obscurité de la salle   «  ,  me chuchote-il à l’oreille. Nous n’avons jamais fais l’amour dans une salle de ciné, je mouille rien que d’y penser. « Qu’est ce que tu lisais tout à l’heure ? » «  Les petites annonces immobilières, j’ai repéré quelque chose de sympa je crois. J’ai appelé le proprio, en fait je le connais. Il est prêt à me filer les clefs de la maison pour que allions  la voir . » Demain c’est samedi.

Nous passons donc à midi chez Léo, un homme d’environ 35 ans, plutôt bien fait et qui regarde David d’une manière qui me dit qu’il n’est pas insensible aux charmes de mon ami.

« Vous verrez, la maison est seine, j’y laisse toujours un peu de chauffage, prenez votre temps », nous dit –il en nous tendant les clefs. « Très bien, nous avions justement prévu un petit pique nique et du café au cas ou la ballade s’éterniserait, nous le prendrons là bas » «  c’est tout à fait possible, me répondit-il, à condition que vous laissiez tout clean bien sûr . Vous pouvez même faire du feu s’il y a du bois. De mon coté, je  vais manger et si vous êtes encore là tout à l’heure je viendrai boire une tasse avec vous et discuter de l’affaire sur place ».

La baraque n’est pas loin et nous nous y rendons à pieds avec notre panier. La campagne au mois d’avril se teinte de bruns et de verts et s’éclaire du blanc de l’aubépine, du jaune des champs de colza et des genets dont je fais un bouquet en passant près des haies. Le petit jardin est en désordre mais nous laisse immédiatement entrevoir des possibilités d’aménagement. La maison est un gros volume tout à fait viable et qui se laisse transformer aisément au fil de notre visite.

Au milieu de la pièce principale se dresse un grand mât sculpté  d’où  jaillissent de ci de là de petites tiges comme des départs de branches polies par l’usage. David commence à s’emballer et à imaginer tout un tas de théories sur leurs utilités, alors, pour me moquer de lui et le camer un peu, je commence à imiter la chèvre « mhäää ». Il s’arrête et me regarde illuminé d’un large sourire : « Mais oui ma biquette, c’es un mât pour attacher les petites bestioles de ton espèce. » Voilà une idée qui m’excite tout de suite plus et je le laisse totalement faire quand il me met dos au poteau, plaçant mes mains autour d’une tige, au dessus de ma tête. Je ferme alors les yeux …

Il laisse ses doigts aller sur mon cou et mon torse, il me fait frissonner. Délicatement il retire mes mains ,  l’une après l’autre, pour m’ôter ma veste puis mon chemisier en les faisant glisser doucement le long de mes bras, puis les lie de nouveau au dessus de ma tête. J’ai toujours les yeux clos et je l’entends qui s’éloigne et reviens vers moi. « Elles sont très jolies ces fleurs » me dit-il. Je sens mes seins pointer vers l’avant. «  Et le jaune va très bien avec ces beaux balconnets rouges ». Je m’électrise soudain en sentant le contraste des doux pétales et des tiges rugueuses contre ma peau offerte. Il me donne comme des petits coups de fouets sur mes seins avec le bouquet. Il chante : « Vicious, tu me bas avec des fleurs, tu le fais toutes les heures » et mes tétons sont dures et adorent ces petits coups qu’ils reçoivent à travers le tissus de mon soutien gorge.

Il me sent très excitée et arrête ce petit jeu. Je l’entends qui pose les fleurs par terre. « Garde les yeux clos petite biquette, le grand méchant loup va s’occuper de toi ». Il s’approche tout près et fais courir sa grande langue et son souffle sur mon cou. Pendant ce temps ses mains rejoignent la cambrure de mes reins et descendent  jusqu’à mes fesses pour dégrafer ma jupe et la faire tomber à mes pieds. Il me lape maintenant la gorge, la partie dévoilée de mes seins, mon ventre, le haut de mes cuisses dénudée et suit les contours de mon string avec sa langue, à l’intérieur des cuisses et dans le pli de l’aine. Derrière, il me pétrit les fesses et délicieusement je monte, je monte au ciel.

Il s’arrête de nouveau, se redresse, me prends par la taille et me déplace légèrement sur la gauche. Les mains toujours jointes au dessus de ma tête, je suis maintenant à cheval sur une tige lisse sortant du mât sur 15 centimètres environs. J’écrase ma fente sur le bâton dur, j’inonde totalement le tissus de mon string en bougeant mon bassin d’avant en arrière.

 

Lui de son coté s’est éloigné vers la cheminée pour allumer une petite flambée. Alors que je jouis et pousse de petits gémissements de bonheur, le feu se met à crépiter, et les flammes à s’élever. Je l’aperçois qui se retourne et me regarde, il me mate et je vois le désir enfler dans ses yeux. Mon corps ondule et transpire le plaisir. Effectuer cette danse sexuelle devant lui m’excite d’autant plus. A bout de souffle, je le supplie de se déshabiller et de venir me rejoindre. Il s’exécute sans  hâte. Je regarde jaillir sa belle bite lorsqu’il défait son pantalon et j’aime comme il se branle en s’approchant de moi, son gland violacé pointe superbement dans sa pogne et j’ai envie de le sucer, de le caresser avec ma langue, qu’il remplisse ma bouche. Le bâton entre mes cuisses est complètement lubrifié  par mon sexe qui salive abondamment, déjà largement ouvert.

Il me retourne et m’oblige à me pencher. Je garde les mains de chaque coté du mât, toujours attachée à lui par un lien invisible. Ses doigts écartent mon string sur le coté de ma chatte et il enfourne sans crier gare son dard dans ma fente. J’adore cette sensation de sentir son gros membre glisser si aisément d’avant en arrière à l’intérieur de moi, puis lorsqu’il me fouille et qu’il me caresse l’intérieur avec sa tête chercheuse. Je sens que je quitte la terre, mais entre deux clignements, j’aperçois le proprio derrière la porte. Il nous regarde à travers la vitre puis entre sans bruit. «  On s’amuse bien ici » dit-il en s’approchant un peu. Haletante je lui dit « Vous êtes un peu trop tôt pour le café mais juste à l’heure pour le dessert » ; David surpris, s’interrompt un instant mais je lui dit «  encore, encore, continue, fais moi jouir encore ».

Léo est tout près maintenant, il me caresse la croupe tout en regardant David à son affaire. «  Vous avez un très beau cul Madame, mais je les préfère plus masculin » me dit-il en regardant le membre aller et venir en moi. Je lui répond «  Ca tombe  bien… je suis légèrement attachée… et  hummm… il y a  Ahhh… là un homme Ohhh dont personne ne s’occupe ». « Elle est toujours chaude comme ça ? » ,demande le visiteur. «  Souvent » lui répond David en lui passant une main sur la bosse qui apparaît clairement sous la toile de son pantalon, et il ajoute : « Vous pourriez vous … dévêtir… se serait …han…la moindre des  politesse, non ? »

Léo ne se fait pas prier plus longtemps et laisse tomber un à un ses vêtements au sol. Pendant ce temps David me propose d’aller s’installer sur un vieux fauteuil devant l’âtre. Il s’y assoit, son sexe est si dur qu’il se tient dressé fièrement dans ma direction. Je retire mon string et viens m’assoire sur lui. Avec mes doigts j’écarte mes lèvres pour bien voir sa bite glisser en moi et je l’enfonce jusqu’à la garde. Je tapote mon clito qui lui aussi pointe le bout de son nez et laisse ma main sur mon pubis pour caresser nos sexes qui se mêlent. Ses doigts à lui courent sur mon ventre, dans le pli de l’aine, sur mes bras et mon soutien gorge à l’intérieur duquel deux seins n’en peuvent plus de durcir. Je plaque ses mains sur mes mamelons afin qu’il les malaxe et les soulage.

Léo, qui suivait jusqu’alors un peu à l’écart nos ébats se rapproche enfin, la bite en avant. Son sexe est long et fin et nous nous mettons tous les deux à lui donner de petits coups de langue, nous le suçons et l’aspirons chacun de notre coté avec délice. Nos lèvres et nos langues se touchent autour de cette friandise qui, maintenant humide, luit dans la lumière du feu. Je m’écarte un peu et effectue des cercles avec mon bassin autour du pieu qui me fouille et qui, je le sens, est prêt à cracher sa semence. Voir le membre de Léo disparaître dans la bouche de mon homme me rend folle  d’excitation et ce qu’il fait avec sa bouche, je lui fais avec mon sexe ; il suce, il aspire, il enveloppe avec ses lèvres, il salive.

Puis nous changeons encore de position, je m’accoude au dossier du fauteuil, les genoux sur l’assise pour que David me prenne en levrette. Il me tient par la taille et s’installe au plus profond de moi. Je le serre fort et je sais qu’il va venir. Une autre main va et vient de ses  couilles à mon pubis et encourage notre explosion. En tournant la tête, j’aperçois Léo à genou derrière David, en train de lui butiner la raie des fesses. Je jouis à en perdre haleine et soudain un torrent chaud inonde ma caverne, je jouis de me sentir pleine de ce jus et l’expression sur le visage de mon homme me dit qu’il est lui aussi dans un autre monde.

Alors nous reprenons notre souffle, Léo s’est relevé et se trouve juste à la bonne taille pour prendre ce cul qu’il vient de préparer à la pénétration. Il met un préservatif, crache sur son sexe pour le lubrifier un peu. A mesure qu’il s’enfonce, je sens le corps de David qui pèse de plus en plus sur moi et sa bite qui rétrécit, il, se laisse aller. Je me dégage et vient m’asseoir sur le rebord du dossier, face aux deux hommes. Le sperme de celui qui vient de me prendre s’échappe de ma chatte et coule le long de mes jambes. Du doigt, j’en intercepte un filet avant qu’il ne  souille mon bas et le porte à ma bouche. Je regarde, réjouie, le membre de Léo aller et venir entre ces si belles fesses «  Tu es bon » ne cesse t-il de répéter. David, lui se penche un peu plus pour offrir au mieux sa croupe et se laisse guider par les mains qui tiennent les hanches. Sa cambrure est délicieuse et de petites gouttes de sueur  perlent sur sa peau.

Sa tête, elle, a plongé entre mes cuisses, il me lape la peau, me la lave, s’arrête pour reprendre son souffle, caresse mes lèvres avec le bout de sa langue qu’il plonge ensuite dans ma fente pour y boire nos deux jus mêlés comme un assoiffé.

Mon plaisir remonte encore. Léo donne maintenant  de grands coups et je vois son visage se tendre et sa bouche s’ouvrir. Je plonge mes mains dans les cheveux de David et me cambre car je sens poindre un nouvel orgasme. Pratiquement au même moment, Léo et moi poussons nos bassins à fond en avant et David, comme un trait d’union électrique, nous emmène dans un plaisir merveilleux, il nous aspire et nous fait jouir longuement. Nous nous affalons sur lui et le serrons dans nos bras. «  Merci », il fait bon  être comme ça enlacé dans ce fauteuil près du feu. 

 

Par syldavie - Publié dans : texte érotique - Communauté : Epicuriens et libertins
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Samedi 18 juillet 6 18 /07 /Juil 22:43

            
La soirée était déjà bien avancée lorsque nous sortîmes du bar  de « La Luna » et comme nous avions tous plus que moins bu, il fut conclu qu’il était plus que raisonnable de prendre un Taxi pour rejoindre le lieu où se tenait « l’after » de la soirée . C’est ainsi que je me retrouvais à l’arrière d’une somptueuse Mercedes entre mon homme et son meilleur pote Jo.

            Confortablement installés sur la banquette en cuir, nous nous laissions conduire en nous marrant quand David mis sa main sur ma cuisse et ostensiblement la remonta vers l’intérieur tout en bavardant avec notre ami. Je le regardai interloqué mais il me fis un sourire et m’embrassa de ses lèvres charnues, puis se tourna vers Jo et lui fit un signe de la tête pour qu’il regarde vers mon entrecuisse. « MMM », fit l’autre en voyant apparaître ma peau au dessus de mes bas. Je ne savais trop que faire mais excitée par la situation, d’être entre deux mâles et pouvant être surpris par le conducteur à tout moment, je me laissais faire et écartais légèrement les cuisses.            Mon mec tout en blaguant  finit  par soulever complètement l’avant de ma jupe, découvrant ainsi mon minou tout lisse à peine recouvert d’un Tanga de perles. Celles-ci luisaient dans le défilement des réverbères de la ville. La fine enfilade se faufilait entre mes lèvres brillantes de mouille. « C’est beau un ville la nuit », dit David le sourire dans la voix. Jo me lança un clin d’oeil. Ma tête voyageait : je regardais le visage du chauffeur dans son rétro et ne savais pas trop ce qu’il voyait ; la main de Jo posée sur sa tige que j’imaginais gonflée à bloc et celle de mon homme qui glissait sur ma fente pendant qu’il m’embrassait dans le cou… Déjà le taxi ralentissait, nous arrivions. Nous étions en pleine montée et il nous fallut éclater de rire pour revenir sur terre.

             Pendant que David payait le taxi, Jo me tenait la portière, je descendis la jupe encore remontée sur mon ventre, lui laissant tout loisir de plonger son regard entre mes cuisses ouvertes et je vis ses yeux s’emplir de désir.

            Alors que le véhicule redémarrai, je pris les deux compères par le bras et les entraînant vers la porte d’entrée de l’immense baraque où nous allions finir la nuit, je  leur dit : « Dites donc les gars, si on se trouvait rapidement un coin dans la maison où nous pourrions finir cette conversation très intéressantes ». « Ah AH ! Oh Oh ! », Firent ils d’un même cœur hilare.

            Une trentaine de personnes étaient déjà là et certainement d’autres allaient arriver. Une copine DJ invitait par son mixe une bonne partie des convives à danser tandis que les autres s’assemblaient dans la cuisines autour de Tequila paf , des joins tournaient ainsi que d’autres produits illicites . Nous saluâmes ceux que nous n’avions pas encore vu, prirent part aux festivités mais ne nous perdions pas de vue.

Je passais quelques temps avec quelques copines mais j’avais le feu au cul et je ne pu résister très longtemps à aller retrouver David. Il m’embrassa tout sourire et Jo pointa presque’ immédiatement le bout de son nez. Il nous dit : « On va là-haut, il y a une pièce sous le toit où il y a des matelas et en plus je viens de chopper de quoi faire un  bon trait chacun, ça va vous dit ? ». Pour sûr ça nous disait. Nous nous éclipsâmes donc discrètement. Les garçons me laissèrent passer dans l’escalier, par galanterie ? Non, non, juste pour pouvoir me passer la main aux fesses pendant la montée. Arrivée a la porte de la pièce, David passa dans mon dos et me pelota les miches de ses grandes mains, mes tétons durcissaient à m’en faire jouir, il me les pinça à travers le tissu léger de mon chemisier et m’embrassa. Pendant ce temps Jo avait passé sa tête sous ma jupe et me reniflait et me léchait le sexe, je dégoulinais littéralement et  il récupérait mon jus sur les perles de mon tangua. Pendant qu’ils s’occupaient de mes boutons des plaisirs, je réussis à tâtons à trouver le bouton de la porte et l’ouvris entraînant avec moi mes partenaires.

            Le grenier devait souvent servir de dortoir puisqu’une dizaine de matelas étaient installés là sur le parquet de châtaignier, il y avait même un canapé déplié en lit vers lequel nous nous dirigeâmes tout de go.  Jo a sorti son petit paquet et a commencé à tout préparer  sur un bouquin qui traînait sur une petite table basse juste devant nous.  David lui s’est vite désapé et a commencé à m’ôter ma jupe puis mon chemisier me laissant en sous vêtement. Je m’installais ainsi comme dans la voiture entre les deux garçons, comme pour reprendre l’histoire là où nous l’avions arrêté.

            Pendant que Jo continuait les préparatifs, David me doigtait la chatte et me la mouillait de longs jets de salives. Il m’introduisit un puis deux doigts pendant que moi-même je me branlais déjà fiévreusement le clito. Ma chatte émettait toute sorte de clapotis qui faisait sourire Jo. Il me tendit le support et une paille et se leva pour se dévêtir. Je sniffai ma ligne et tandis le livre à David pour qu’il en fasse de même.

            Jo vint se rassoire près de moi. La tête commençait à me chauffer et mes deux mecs me pelotaient, m’embrassaient, leurs mains m’écartaient les cuisses et ils me fourraient conjointement le con mêlant leurs doigts pour me caresser le clito, m’ouvrir la fente ou me pénétrer .Moi j’avais saisi leur bite et je les branlais des deux mains en même temps, cela dura un moment et j’adorais cette idée d’avoir deux belles bites à disposition et je commençais à avoir très envie de me faire pénétrer par elles.

            David se mit à genou pour que je le suce et je ne me fis pas prier. A quatre pattes devant lui j’engouffrais son dard bien dur dans ma bouche affamée, le suçant,  le noyant de salive pour le voir luire quand je le branlais avant de l’avaler à nouveau et de la prendre jusqu’à la gorge. Bien sûr ma croupe était elle tout offerte pour l’autre homme et il me l’a bien bouffée avant d’enfiler une capote et de me saisir par les anches pour m’enfoncer son pieu dans mon sexe plus qu’accueillant. Il m’a limé d’abord assez doucement rentrant et sortant presque complètement à chaque mouvement. Le sofa était devenu le théâtre des bruits de bonne baise et je regrettai qu’aucun d’entre nous n’ait d’appareil photo.

            Je sentais que David était très excité, son sexe était tendu à l’extrême. Il dit à Jo de bien me saliver le cul parce qu’il allait m’enculer. Son pote continuait à me limer, il mit de la salive sur ses doigts et m’en enduisit plusieurs fois l’anus. Mon petit trou appelait ses caresses et s’ouvrait petit à petit. « Je pense qu’elle est prête »dit Jo. «Oh oui prenez moi tous les deux » m’entendis-je dire,  « prenez-moi à fond ».

            Jo s’assis sur le sofa, la queue bien dressée vers le ciel. Je crachais dessus avant de la saisir et de me l’enfoncer dans la chatte. David se plaça derrière moi mais au lieu de me prendre le cul, il pointa son gland à l’entrée de mon sexe et prenant la bonne inclinaison, il réussit lui aussi à prendre possession de ma minette. J’eus donc droit à deux bites qui se caressaient de tout leur long à l’intérieur de moi, c’était divin Je mis ma main entre mes cuisses pour sentir avec mes doigts comme j’étaisécartée. En effet, ma chatte étais largement ouverte aux dans sexes, pendant qu’un sortait l’autre entrais et leurs couilles s’entechoquaient, ce qui semblait beaucoup les exciter et ce qui me fis mouiller encore plus . Ainsi enfilée j’enfilais les orgasmes.

            Puis David se retira         . En tournant la tête, je vis qu’il se tartinait le sexe avec sa salive et je compris qu’il allait me prendre le cul. Je mis alors mes mains sur mes fesses et les écartai largement. Il pointa sa queue sur ma rondelle et je poussai en même temps que lui pour  qu’il me pénètre plus aisément. Dés le passage de son gland et sans attendre je me mis à bouger plus fort en lui disant d’y aller à fond. Ces deux bites se frottaient à travers les fines parois de mes chauds orifices et je me sentais dilatée, prise et comblée. Les deux mecs me bourraient de plus en plus fort en me pelotant les seins, Jo me mordillait les tétons que David pinçait en les lui tendant. Leurs mouvements s’accéléraient et je compris qu’ils allaient jouir. Je sentis le jus de David se rependre dans mon cul en de longues giclées alors qu’il s’ y enfonçait le plus profond possible et presqu’en même temps le long râle de Jo m’indiqua qu’il venait de prendre son pieds j’étais aux anges. Jo se retira assez rapidement pour ôter son préservatif mais je gardais le sexe de David encore quelques temps dans mes fesses. Je ne bougeai plus comme en suspension, il m’embrassait le cou et les cheveux et  lorsqu’il sorti lui aussi, je m’affalai littéralement sur le sofa, au comble du plaisir.

            A ce moment j’entendis une voix féminine venir du fond de la pièce :  « Bravo, c’était magnifique, je suis entrée pendant votre petite sauterie et je n’en ai pas manqué un miette. » Je tournais la tête vers la fille, elle était allongée sur un matelas,  la main encore dans la culotte…

Par syldavie - Publié dans : texte érotique - Communauté : couple amateur
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Mardi 26 mai 2 26 /05 /Mai 11:51

Depuis plusieurs mois je m’épile la chatte avec une pâte merveilleuse : non seulement, elle est facile à utiliser, moins douloureuse que la cire, mais en plus, au fur et à mesure qu’on l’utilise, la pilosité diminue. Ainsi, mon pubis est de plus en plus lisse. C’est doux, doux et quand je me caresse, je peux regarder mon clito frétiller et gonfler ainsi que mes lèvres humides parfaitement dégagées.

Habituellement mon mari s’occupe du derrière car j’aime aussi avoir la raie bien lisse et l’anus apprêté pour recevoir les caresses de sa langue ou les assauts de son pieu. Comme il est actuellement en déplacement à l’étranger, je me demandais bien comment j’allais faire pour réaliser l’opération avant de le retrouver pour les fêtes de noël à Istanbul.

Alors que j’en discutais avec lui au téléphone, lors d’une conversation plutôt chaude, il m’a suggéré de demander à une copine en laquelle j’aurais confiance. Ca me gênait un peu mais j’avais tellement envie d’être nickelle pour nos retrouvailles que j’ai dépassé mon appréhension et est appelé M. , Pas forcément ma meilleure copine mais  quelqu’un qui pouvait comprendre .

« J’ai un petit service à te demander », lui dis-je, avant de lui résumer la situation. Elle était d’accord et ça ne lui posait aucun problème. Nous convînmes d’un rendez-vous.

Je me présentais donc chez elle à l’heure H avec dans mon sac la fameuse pâte et la crème hydratante après soin. Elle m’ouvrit, habillée d’un peignoir et à peine réveillée .Elle sortait juste de sa douche et son bol de café fumait sur la table de la cuisine .Elle m’offrit un thé et je l’accompagnais ainsi pour la fin de son petit déjeuné. C’est une fille très simple et qui met tout de suite à l’aise. Nous discutions :

« Alors, quelle est ce produit merveilleux ? », me demanda-t-elle.  « Tu sais j’y ai pas mal pensé et j’ai hâte de voir comment ça se passe et quels sont les résultats. » Je lui répondis que pour ma part, je n’avais rien trouvé de mieux. Je déballais mon petit sac et lui expliquais la procédure. « Vu la surface qu’il reste à épiler tu en auras vite fait le tour ». « Le tour du trou »me dit-elle, toujours prête pour un bon mot.

Cela me détendit un peu car je n’étais malgré tout pas complètement à l’aise.

Nous allâmes  ensuite dans sa chambre, où, sur mes conseils, elle plaça une serviette sur le lit et me proposa un oreiller que je pourrais mettre sous mon bas ventre. Pendant ce temps, j’ôtais ma jupe et mon string.

Elle se pencha et regarda mon bas ventre. « Dis donc, le rendu est superbe, et ta peau est si douce », siffla-t-elle en passant le revers de sa main sur mon pubis. Elle  se releva et m’invita à prendre place. Alors que je m’allongeais les fesses en l’air, elle m’avoua, rieuse, qu’elle avait plus l’habitude de se faire écarter les fesses que le contraire.

Pourtant avec application et dextérité elle ne mit pas longtemps à chopper la technique et elle commença à dégager tout le tour de mon œillet. A vrai dire j’étais, grâce à son naturelle et sa bonne humeur, parfaitement détendue et je me laissais maintenant complètement aller. La croupe bien relevée, je me laissais faire. Elle passait à droite, s’extasiait devant l’efficacité du produit, passait à gauche, m’écartait les fesses, appliquait la pâte et tirait un coup rapide.

Elle se rapprochait doucement de mon petit trou et le contact de ses doigts, sur cette partie hautement sensible et vulnérable au plaisir de mon corps, commençait malgré moi à m’exciter. Je pus m’apercevoir que je n’étais pas la seule car tout en continuant à discuter et à blaguer, elle se plaça à califourchon sur ma cuisse et je sentis sa toison effleuré ma peau et se lèvres (visiblement elle ne portait pas de culotte) s’écraser contre. Elle mouillait et moi ça commençait à me chauffer.

Cela se confirma lorsqu’une fois le travail fini, elle se pencha sur mon cul et du bout des doigts, effleura ma raie et mon petit trou pour vérifier qu’il ne restait plus un poil. Comme par réflexe, je remontais ma croupe. « C’est parfait, me dit-elle, j’en connais un qui va être content ».

Je tournais légèrement la tête pour la remercier et lui tendis la crème hydratante .Elle me sourit en la prenant et commença à me masser la raie jusqu’à l’absorption du produit. Me sentant frémir, elle me demanda « Tu aimes ? ». Je dus lui avouer que ça me faisait beaucoup d’effet. « Par contre, ici, pas besoin d’hydratation dis-moi, tu as la chatte luisante ma chérie » Et joignant  le geste à la parole, elle fit descendre ses doigts entre mes cuisses et caressa le bord de mes lèvres. Je dégoulinais littéralement et ne pus résister à me cambrer encore plus. Passant sa main sur ma motte pour la caresser, elle me murmura : « Mm mm, tu as une belle chatte tu sais ?! »  « Et elle ronronne », lui répondis-je en me retournant légèrement. Mon clito s’affolait sous ses doigts et je gémissais en la regardant. Elle se tenait sur ses genoux, le peignoir ouvert, ses doigts se plongeant dans son sexe doré, frottant ses grandes lèvres, les écartant et s’enfonçant de nouveau. « Retourne-toi, je veux te goûter ». Je m’exécutai, hypnotisé par cette situation nouvelle pour moi.

Elle plongea sa tête entre mes cuisses toutes ouvertes, je sentais la jouissance monter sous se petits coups de langues. Après quelques instants, elle se releva et me lança les lèvres luisantes de ma mouille et de sa salive : « j’ai quelque chose pour nous…si tu es d’accord bien sûr ». A ce point je n’étais qu’impatience et envie

. Elle se dirigea vers sa commode et en revint armée d’un double gong rouge et du lubrifiant. «  Un cadeau qu’on ma fait il y a un bon moment maintenant »

Elle m’en présenta un côté et je l’avalait goulûment, le tartinant de ma salive. Pendant ce temps, elle plaça son sexe en face du miens, croisant nos jambes et plaqua sa chatte contre la mienne. Nos jus se mêlaient, nos boutons d’amour  se frottaient, c’était aussi délicieux qu’inattendu. Puis elle se recula pour enfoncer le coté du jouet couvert de ma salive dans sa moule et l’autre enduit de gel dans la mienne.

Complètement partie, je regardais l’objet se faire avaler par nos sexes affamés. Nous bougions de plus en plu et gémissions en cœur, véritablement heureuses de ce plaisir et nos mains se retrouvaient sur nos clitos, écartaient nos lèvres, poussaient l’objet au plus profond de nos vagins.

Je jouissais comme une folle et j’imaginais que mon mec était là. D’abord, je faisais un 69 avec ma copine, moi sur elle, et pendant qu’il me prenait, elle me léchais la fente, sa tige et ses couilles. Puis moi dessous elle, il la prenait en levrette, et je voyais sa bite aller et venir entre les lèvres de ma copine, jusqu’à ce qu’il se retire pour venir jouir dans ma bouche…

 

 

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Par syldavie - Publié dans : texte érotique - Communauté : AllAboutSex
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